Et il n'y a bien que lui.
Alors, j'ai beau me dire, me répéter, le lancer à tous les vents, que tout va finir par s'arranger, que ça va de mieux en mieux, que ....
C'est faux, et j'en suis sincèrement désolée.
Je me suis encore couchée en larmes hier soir tant il me manque.
Je me suis encore réveillée ce matin le creux du ventre en vrac tant il me manque.
Je n'ai peut-être plus mal aussi souvent , certes, mais ..... Quand j'ai mal, c’est avec la même violence, le même sentiment de vide au creux de moi qui m'attire, me tourmente, me ravage.
Je ne contrôle toujours pas les larmes.
Alors, je sais parfaitement qu'il n'y a pas de règle sur le temps de cette convalescence, je sais aussi pertinemment qu'il n'y a pas de remède miracle à ce mal qui me ronge; mais je trouve que 4 mois, c'est long .....
Très ....
Trop ....